Show-room Agnès b.
33 cours d'Estienne d'Orves Marseille 13001.
33 cours d'Estienne d'Orves Marseille 13001.
Bad Boys
In Marseille
17 Novembre au 30 December 2017
17 Novembre au 30 December 2017
17 Novembre au 30 December 2017
BAD BOYS
In Marseille.
Est ce que tu vois ce que je vois?
Deux enfants nous regardent. Ils ont du interrompre les jeux et font face à l’objectif du photographe, une pose pleine d’une provocation naïve et forte de l’innocence. Devant un mur couvert de graffiti, les gamins imposent leur présence et singent une attitude rebelle de futurs adolescents. Gavroches à la langue bien pendue, petits punks, Bad boys en herbe…
Instant photographique reproduit en série, utilisé comme prétexte à peindre. La peinture compose et décompose l’image matrice. La peinture se frotte aux signes proposés par la photo « cliché ».
De « Bad Boys » à « Bad Painting ».
Une improvisation sans intentions spécifiques... Une peinture brute, d’origine Pop, Punk et Graffiti, mélange de genre, libre, qui aimerait ne pas se prendre au sérieux. L’art de la rue rejoint ici l’atelier de l’artiste, il faut faire vite et se laisser aller. Provoqué des rencontres entre différents genres d’éléments visuels.
Comme les styles, les regards se croisent… Le sujet vous regarde, regardeurs qui observent la scène et les éléments qui la composent. Mélange de signes narratifs… Mots, tags, « Enjoy »… « Funny Boy » ! … Deux personnages alter ego de BD sur le mur de graffiti, Don Quichotte de Picasso sur le t-shirt de l'un, et un chef indien casqué emplumé sur le t-shirt de l'autre. On s’y perd…
Est-ce que tu vois ce que je vois?
Instant photographique reproduit en série, utilisé comme prétexte à peindre. La peinture compose et décompose l’image matrice. La peinture se frotte aux signes proposés par la photo « cliché ».
De « Bad Boys » à « Bad Painting ».
Une improvisation sans intentions spécifiques... Une peinture brute, d’origine Pop, Punk et Graffiti, mélange de genre, libre, qui aimerait ne pas se prendre au sérieux. L’art de la rue rejoint ici l’atelier de l’artiste, il faut faire vite et se laisser aller. Provoqué des rencontres entre différents genres d’éléments visuels.
Comme les styles, les regards se croisent… Le sujet vous regarde, regardeurs qui observent la scène et les éléments qui la composent. Mélange de signes narratifs… Mots, tags, « Enjoy »… « Funny Boy » ! … Deux personnages alter ego de BD sur le mur de graffiti, Don Quichotte de Picasso sur le t-shirt de l'un, et un chef indien casqué emplumé sur le t-shirt de l'autre. On s’y perd…
Est-ce que tu vois ce que je vois?
« Le rapport du langage à la peinture est un rapport infini. Non pas que la parole soit imparfaite, et en face du visible dans un déficit qu'elle s’efforceraiten vain de rattraper. Ils sont irréductibles l'un à l'autre : on a beau dire ce qu'on voit, ce qu'on voit ne loge jamais dans ce qu'on dit, et on a beau faire voir, par des images, des métaphores, des comparaisons, ce qu'on est en train de dire, le lieu où elles resplendissent n'est pas celui que déploient les yeux, mais celui que définissent les successions de la syntaxe »
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